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Patients Emy et les otites à répétition.
Emy, bébé d’un an, habite la Nouvelle Calédonie ; elle vient en France avec ses parents et sa sœur de trois ans visiter ses grands-parents maternels.
C’est un bébé sans problème jusqu’à l’âge de 9 mois où elle débute des otites à répétition dont les antibiotiques ne viennent pas à bout. Les antibiotiques ont été pris sur prescription médicale, 3 cures à 9, 10 et 11 mois. La dernière prise d’antibiotiques a lieu le jour du départ (27 heures de voyage).
L’enfant ne dort pas du tout pendant les vols, elle est particulièrement agitée à la surprise de ses parents qui en avaient l’image « d’une bonne petite mère » très calme.
Arrivée en France, elle continue à se montrer agitée, dort peu tout en présentant un teint d’une pâleur presque verdâtre. Elle ne mange presque pas, ne veut que des biberons.
Elle surprend son entourage par son hyperactivité sans période de calme. En quelques jours, toute la famille est épuisée.
Six jours plus tard, Emy a de la fièvre. En l’absence du médecin de la famille maternelle, elle est conduite pour avis chez le Dr B. (proche du domicile des grands-parents) qui ne la connaît pas. Il consulte le carnet de santé, diagnostique une légère otite et sûrement un manque de fer ce qui, d’après lui, neutralise l’effet des antibiotiques.
L’analyse sanguine confirme la carence de fer et révèle une série d’anomalies qui font pencher le praticien vers une infection urinaire. L’analyse se révèle négative.
Quatre jours plus tard, malgré la prise de fer, l’otite a progressé et le médecin prend contact avec l’hôpital de D. où l’enfant est envoyée en urgence.
Emy à l’hôpital
Les parents et l’enfant sont très gentiment accueillis par le service pédiatrie, les analyses sont immédiatement refaites, l’enfant accompagnée au service ORL. Une double otite très rouge est diagnostiquée. Le spécialiste oto-rhino et le pédiatre décident de mettre l’enfant sous perfusion d’antibiotique en hôpital de jour.
Chaque jour les analyses sont refaites avant la perfusion. Au bout de cinq jours, aucune amélioration n’est constatée et l’état des deux tympans laisse les médecins perplexes. Ils ne comprennent pas une telle résistance de la double otite qui aurait plutôt tendance à s’aggraver, malgré la dose d’antibiotiques. Une conférence des deux services se tient sur le cas d’Emy.
L’après-midi de ce cinquième jour, les parents vont consulter le médecin de famille, Le Dr L, revenu sur Paris, qui a « élevé » la maman selon des principes d’une médecine de terrain, dont l’approche est adaptée à chaque patient.
Le Dr L. prend connaissance des analyses et examine les antécédents reportés sur le carnet de santé.
Il constate que la déstabilisation de la santé de la petite fait suite aux vaccinations massives à base de six germes dans la même injection. C’est à cette époque que le bébé a démarré les otites.
En intégrant les résultats de laboratoire dans sa méthodologie de diagnostic du patient pris dans sa globalité, il a déterminé, entre autres déséquilibres de terrain, que le taux des œstrogènes de ce bébé d’un an était celui d’une femme de 30 ans.
La conséquence est une inflammation généralisée qui affecte particulièrement, dans le cas présent, la sphère ORL. Ce phénomène favorise la surinfection du tympan par des germes et génère ainsi les otites dont les antibiotiques se révèlent incapables de venir à bout dans des délais et des doses raisonnables. Sur le plan physionomie générale ce taux d’œstrogènes s’accompagne, outre d’une hyper activité, d’une dépigmentation de la peau, ce qui explique la pâleur verdâtre de l’enfant remarquée à son arrivée en France.
Emy après 3 jours de traitement phytothérapique
Le médecin prescrit l’arrêt immédiat des antibiotiques et l’utilisation de poires rectales (similaires à des mini-lavements) à base de préparations phytothérapiques, dès le jour même, à visée anti-infectieuse et anti-inflammatoire ainsi que de drainage hépatique en vue de détoxiquer le foie de cette petite fille et de mettre en place une de régularisation de l’activité oestrogénique excessive
Au bout de trois jours d’administration du traitement, l’enfant s’est calmée, l’agitation perpétuelle qui l’animait depuis son départ de Nouvelle Calédonie s’est transformée en périodes de jeux calmes suivies d’activités normales. L’appétit et les couleurs sont revenus.
Le voyage de retour s’est bien passé, l’enfant a connu des périodes de repos et d’éveil normaux, loin de l’agitation de l’aller.
Sous ce traitement phytothérapique qui a duré une quinzaine de jours, elle a retrouvé ses habitudes de « bonne petite mère », détendue, elle s’est mise à marcher au bout de deux semaines.
Un traitement, phytothérapique lui aussi, de remise en état et de consolidation du terrain a suivi pendant trois mois.
Les parents ont retrouvé sérénité et sommeil.
Dix mois plus tard, l’enfant est complètement guérie. Le suivi de la décongestion des tympans a été assuré par le médecin oto-rhino de Nouméa qui suit habituellement les enfants de la famille. Il a été fort étonné du résultat et a conseillé la poursuite du traitement.
Durant l’hiver austral (juillet – août), à chaque menace de rhume, le traitement a été réemployé, avec succès, dès les premiers symptômes d’inconfort.
Cette histoire que vivent de nombreuses familles avec leurs « petits » génère de la part de la famille d’Emy quelques remarques.
Sur le plan financier, le coût pour la communauté a été important.
Pour la filière hospitalière, il faut noter :
Ceci est à comparer à la filière médecin phyto-thérapeute :
Tous les médecins hospitaliers rencontrés ont été d’une grande gentillesse envers l’enfant et sa famille. Ils ont poussé au maximum leurs connaissances pour aboutir à une guérison. Techniquement, les prélèvements et soins furent parfaits avec un minimum de douleur pour l’enfant.
Manifestement, les praticiens se sont focalisés sur la disparition du symptôme de nuisance. Ils n’ont pas su remonter à l’arbre des causes de cette nuisance, attitude fondamentale en « prévention et sécurité » afin d’éviter la reproduction d’évènements non souhaitables.
La question se pose, les médecins savent-ils remonter à la cause ou ne disposent-ils que d’outils effaçant simplement les symptômes ?
Comment faire de la prévention si les causes ne sont pas identifiées ?
Est-ce une question de formation ?