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PHYTOTHERAPIE ENDOBIOGENIE
Association des Usagers de la Phytothérapie Clinique

TÉMOIGNAGE DE PATIENTS

Marie-Louise, les bronchites et le cholestérol.

Marie-Louise est une dame de 82 ans complètement autonome. A part quelques douleurs aux genoux, c’est un roc. Elle conduit sa voiture et va visiter des pensionnaires de maison de retraite et des patients hospitalisés, les vieux dit-elle « qui sont pourtant plus jeunes que moi ». Il lui arrive aussi de prononcer le sermon au temple. Elle vit dans le Pas-de Calais loin de ses enfants.

Lors d’un hiver, elle fait bronchites sur bronchites. En automne de l’hiver suivant, les bronchites reprennent. Son médecin habituel lui prescrit des antibiotiques et de la cortisone. Sa fille vivant en Ile de France vient la soigner à diverses reprises.

 

Au début de cet automne qui commence mal, sa fille B. l’interroge :

--« Maman, comment se fait-il que tu déclenches des bronchites depuis une bonne année ? Que s’est-il passé dans ta vie qui puisse expliquer cette nouveauté? »

--« En septembre de l’an dernier, mon docteur m’a fait faire des analyses, j’ai trop de cholestérol, il me donne des médicaments pour le faire baisser. Je suis donc très malade. » répond-elle en baissant la tête, signe de stress intense voire de honte, déclenché par le diagnostic du médecin.

Cette réponse explique tout.

B. consulte les analyses, le taux de cholestérol (2,74) est légèrement au-dessus de la fourchette haute de la statistique (2,70) donnée par le laboratoire ayant effectué les analyses.

Habituée aux démarches curatives et préventives de la phytothérapie clinique depuis presque 40 ans, B. a tenté une fois de plus de convertir sa mère aux traitements d’entretien à base de préparations issues de plantes, mais en l’absence d’un médecin pratiquant toutes formes de phytothérapie dans la région, il est difficile de sortir de la médecine de ville « ordinaire ». Il faut dire que pour une personne âgée, le médecin est une autorité majeure à qui elle fait une confiance totale.

Très affectée physiquement et moralement par ses bronchites, commençant à douter de la toute puissance du diagnostic médical, Marie-Louise a admis qu’elle ne risquait rien d’essayer d’écouter quelques conseils et de prendre (enfin…) les remèdes conseillés.

 

D’abord, après bien des hésitations et se sentant coupable vis à vis de son médecin, elle a suspendu le traitement anticholestérol.

Ensuite, son terrain a été entretenu par des spécialités dont les formules sont issues de médecins pratiquant la phytothérapie clinique, trois mois de drainage suivis de trois mois d’antioxydants le tout continuellement renouvelé. En cas de fatigue ou de refroidissement, il s’y ajoute des Granions de cuivre et d’argent, et éventuellement des Gouttes aux Essences (GAE).

A ce régime, l’hiver suivant s’est fort bien passé et les bronchites ont définitivement disparu.

 

Son médecin, à qui elle n’a pas osé dire qu’elle faisait des infidélités aux prescriptions, lui a fait faire de nouvelles analyses qui ont révélé un taux de cholestérol « normal » qui a perduré. Il a renouvelé sa prescription d’origine alors qu’il n’y en avait plus la nécessité statistique.

 

Diverses questions se posent à la famille :

  • Le traitement technique qui consiste à obliger les données biologiques personnelles à se situer à l’intérieur de fourchettes statistiques est-il judicieux pour le patient ? N’est-ce pas violer la nature ?
  • Les statistiques sont-elles les mêmes pour une femme de plus de 80 ans qui vit en apparente bonne santé que pour une autre frange de la population ?
  • Chaque individu ayant son propre équilibre, est-il normal de le rendre malade pour lui faire intégrer un équilibre statistique qui n’est pas le sien ?

Le médecin ne sait-il pas soigner de façon non agressive en évitant des effets secondaires plus handicapants que la cause principale ?

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